Beaujolais nouveau et Sainté-Trail : les bénévoles ont retroussé les manches

Il a fallut pousser les murs du cercle pour accueillir tous ceux qui souhaitaient célébrer l’arrivée du beaujolais nouveau ce vendredi 18 20161118_205100novembre. Il y a eu plus de 60 personnes qui ont partagé le saucisson cuit/pomme de terres/sarasson. Et si les organisateurs souhaitaient limiter à 54 le nombre de participants, ils ne pouvaient décemment pas refusé à de fervents “amicalistes” retardataires de participer à cette belle soirée. Pierre Colombet, aux manettes, avaient convoqué ses habituelles cuisinières (Huguette, Dominique) auxquelles s’était joint Liliane pour préparer le repas. Derrière le bar, Pierrot n’a pas chômé… Le beaujolais a coulé à flots.

 

La deuxième partie de soirée était animée par Pierre May, membre du conseil d’administration. Il avait apportée sa guitare, et a entonné 20161118_215636quelques tubes, repris par des convives enthousiastes. Certains n’ont pas manqué de prendre le micro à leur tour. De l’aveu des participants… “On a passé un bon moment. Vivement la prochaine”. La prochaine justement, ce sera le 9 décembre avec une soirée “Flamenco”.

Le lendemain Pierre May a troqué sa guitare pour un piano…de cuisine. Dans le cadre du Sainté trail Urbain qui se courrait le 20 novembre, l’Amicale Laïque de Côte-Chaude, l’Association Cercle d’Union du Quartier Gaillard et le Côte-Chaude Sportif se sont unis pour proposer une animation dans le quartier, sur le passage des coureurs. Plusieurs bénévoles des trois associations ont participé à la préparation d’une soupe aux choux, qui a été servie dès 8h au terrain de foot “Auguste Dury”. Valérie Gonzalez, musicienne professionnelle bien connue de notre structure, a donné un récital de chansons françaises avec son accordéon. D’autres bénévoles, ont pris part également à l’organisation de cette course, en balisant le parcours de barrières et rubalise, ou en assurant la sécurité des coureurs en tant que signaleur durant près de 4 heures. Un grand merci à tous ces bénévoles, rarement à l’honneur, qui ont oeuvré durant ces trois jours.